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Electricité cet hiver : le gouvernement demande des mesures à EDF

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MAXIMILIAN MAXIMILIAN
20/12/2021 07:33:20
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EDF a investi environ 16 milliards d'euros depuis 2010 dans les énergies renouvelables. Si on ajoute la construction de Flamanville cela fait un gros chiffre.

Peut-être qu'EDF aurait du investir plus dans la biomasse pour compléter son mixte énergétique.


La solution tout le monde la connait.

Il faut qu'EDF introduise en bourse EDF ÉNERGIES NOUVELLES pour récupérer 15 milliards d'euros.


  
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philibertlesBB philibertlesBB
20/12/2021 00:06:14
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Pifuaa Oui! Je suis d’accord avec toi

Depuis des décennies la France et l’ UE tergiverse sur le secteur que veut-on?

Plus de nucléaire, d’accord! mais on compense par quoi les Enr…

Le gaz, où sont nos stocks stratégiques,

On veut decarboner les énergies et pendant ce temps les allemands qui ont arrêté le nucléaire tournent plein pot au charbon.

Des incohérences il y en a des tas et aujourd’hui on le paye, je pense surtout aux industries electro-intensives.

On mise sur la mobilité électrique et les bornes de recharge seront alimentées par de la prod intermittente?…

Mais demain pire, il manquera des électrons pour satisfaire nos usages.

Alors stockez des bougies…

Ceci n’est que mon simple avis.


  
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fipuaa fipuaa
19/12/2021 18:26:29
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fipuaa fipuaa
18/12/2021 15:58:47
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la terreur organisée puis la crise organisée ...

  
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MAXIMILIAN MAXIMILIAN
18/12/2021 15:23:28
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EDF possède beaucoup de parcs éoliens en France. En faisant du REPOWERING ... C'est à dire en changeant les vielles turbines par des turbines plus puissantes de 4,5 MW, EDF pourrait gagner 2 GW.


  
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BAWA50 BAWA50
18/12/2021 07:07:44
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Electricité cet hiver : le gouvernement demande des mesures à EDF (AFP/Archives/LOIC VENANCE)

Y aura-t-il assez d'électricité cet hiver ? Le gouvernement a demandé vendredi à EDF de prendre des mesures pour améliorer la sécurité d'approvisionnement, après l'arrêt de plusieurs réacteurs nucléaires, faisant craindre des tensions avec l'arrivée de la saison froide.

La ministre de la Transition écologique Barbara Pompili "a demandé à EDF de prendre toutes les mesures pertinentes pour renforcer à court terme la sécurité d'approvisionnement, ainsi que de mener un audit indépendant sur la maîtrise industrielle et l'optimisation des arrêts de réacteurs, afin de renforcer la disponibilité du parc nucléaire français à moyen terme", a indiqué le ministère dans un communiqué.

"Nous mobilisons depuis plusieurs mois – avec un renforcement depuis hier (jeudi) – toutes nos ressources et nos collaborateurs pour assurer la fourniture d'électricité à nos clients aux mois de janvier et de février 2022", a réagi une porte-parole d'EDF.

Le groupe avait annoncé mercredi soir avoir décidé d'arrêter les deux réacteurs nucléaires de Chooz (Ardennes) "par mesure de précaution", et de prolonger l'arrêt des deux réacteurs de la centrale de Civaux (Vienne), après la détection de défauts à proximité de soudures des tuyauteries du circuit d'injection de sécurité de celle-ci.

Avec ces quatre réacteurs, les plus puissants du parc, la France comptera au total ce week-end 16 réacteurs arrêtés sur 56.

Avant même la révélation de ces problèmes, le gestionnaire du réseau électrique RTE prévoyait un hiver sous "vigilance particulière" pour la France, qui dépend à près de 70% du nucléaire pour produire son électricité. La crise sanitaire a en effet bousculé le calendrier de maintenance des réacteurs.


La centrale nucléaire de Chooz en mai 2017 (AFP/Archives/FRANCOIS LO PRESTI)

Barbara Pompili, qui a reçu le PDG d'EDF Jean-Bernard Lévy vendredi, lui a donc demandé "de mettre en œuvre tous les moyens pertinents pour accroître la disponibilité des moyens de production d'EDF".

RTE a estimé vendredi que la sécurité d'approvisionnement était "bien assurée la semaine prochaine" et doit mettre à jour vers la fin de l'année ses prévisions pour janvier. Outre le recours à l'importation des pays voisins, plusieurs leviers restent aussi mobilisables, de l'arrêt de la consommation d'industriels gros consommateurs d'électricité à une légère baisse de la tension sur le réseau.

EDF indiquait aussi jeudi avoir effectué "des réoptimisations du planning d'arrêt nucléaire" et pouvoir également "compter sur une bonne disponibilité du parc hydraulique".

– Usine à l'arrêt –

La ministre a par ailleurs "demandé à l'entreprise de mener un audit indépendant sur la maitrise industrielle des arrêts de réacteurs", avec un point d'étape attendu avant mi-mars, a fait savoir le ministère.

Le gouvernement avait déjà regretté l'arrêt de 30% du parc nucléaire français à fin novembre. La ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runacher avait suggéré de "relever notre niveau d'exigence pour la disponibilité du parc", estimant que "nous pouvons collectivement faire mieux".


Le PDG d'EDF Jean-Bernard Lévy en mars 2019 à Charleville-Mézières (AFP/Archives/FRANCOIS NASCIMBENI)

La décision surprise d'EDF d'arrêter des réacteurs supplémentaires a eu d'autres conséquences immédiates, sur les cours de l'électricité. Déjà en forte hausse depuis des semaines, dans le sillage de cours du gaz portés par la reprise économique mondiale, ils ont atteint de nouveaux sommets vendredi.

Les cours de l'électricité pour livraison l'an prochain en France s'approchaient des 300 euros le mégawattheure sur le marché de gros. La barre des 100 euros en France avait été franchie pour la première fois au mois de septembre et les prix n'ont cessé de grimper depuis.

Si les particuliers et les petites entreprises sont protégés par la limitation de la hausse à 4% du tarif réglementé l'an prochain, décidée par le gouvernement, les industriels sont inquiets malgré d'autres mesures qui leur sont destinées.

Le Comité de liaison des entreprises consommatrices d'électricité (CLEEE) a ainsi appelé "les pouvoirs publics à suspendre immédiatement les cotations sur les marchés à terme et à mettre en place en urgence un prix administré". Des industriels devront sinon décider d'"arrêt des chaînes de production, ou, quand ils le peuvent, de délocalisation".

C'est déjà le cas pour l'usine Nyrstar d'Auby (Nord), dernière à fabriquer du zinc en France avec 300 salariés: elle sera mise à l'arrêt le 2 janvier pour au moins deux mois, ont annoncé vendredi la CGT et la direction.

© 2021 AFP

  
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